Après l’A5, l’A8 et l’A7, c’est au tour de l’Audi A6 d’être renouvelée.
Cette nouvelle A6 sera proposée en essence comme en diesel, avec une hybridation légère.
Côté essence, ce sera le 3.0l V6 TFSI de 340ch qui officiera sous le capot.
Une nouvelle Audi A6
Audi renouvelle petit à petit sa gamme, et c’est désormais le tour de l’A6. Voici donc la huitième génération de cette berline, qui aura fort à faire.
Elle arrive juste avant le salon de Genève et elle devra convaincre tous les amoureux de la septième génération. Et ça, qu’ils aiment l’A6 dans sa version berline ou Avant (break). Notez que pour le moment, cette variante n’a pas encore été dévoilée. Cela n’empêche pas la toile de frémir, et de commencer à imaginer ce que sera la nouvelle RS6 Avant (aka le break de papas pressés par excellence).
Nouveau design
Avec le temps, les lignes se tendent de plus en plus dans l’ensemble de la gamme Audi. Cette nouvelle A6 n’échappe pas à la règle. C’est encore plus vrai avec cette nouvelle A6 dévoilée dans sa version Sline. Ce qui laisse rêveur quant à ce que seront les S6 et RS6.
La face avant reçoit la nouvelle calandre singleframe, déjà vue sur l’A7 et l’A8.
A l’instar de la nouvelle A8, les feux sont barrés d’une baguette chromée. Contrairement à l’A7 et l’A8, la partie optique des feux ne se rejoint pas.
Comme toujours chez Audi, le design de l’ensemble de la gamme est cohérent. Ce qui fait dire à beaucoup, qu’Audi joue aux poupées russes avec ses modèles. Je ne suis pas d’accord avec cette affirmation, les différences se font dans les détails (et ils sont nombreux).
À bord de l’A6
La planche de bord à été entièrement revue. Ce n’est pas une surprise, elle s’approche de celle de l’A8 avec son double écran tactile. Je suis vraiment curieux de tester ce système en condition réelle, surtout avec le retour haptique qui à été plébiscité par de nombreux essayeurs.
Derrière le volant on retrouve l’Audi Virtual Cockpit, et pour le son c’est un système Bang&Olufsen qui est en place.
Une A6 hybride ?
Les temps changent et Audi s’adapte. L’ensemble des moteurs de l’A6 ont une hybridation légère avec un alterno-démarreur.
Un essence et trois diesels
Quatre moteurs seront proposés pour le lancement en europe : un TFSI et trois TDI.
Pour la faire courte sur les TDI, il y aura un 3.0 V6 TDI (avec quattro) proposé en deux puissances, 231ch et 500Nm de couple, ou 286ch et 620Nm de couple. Le second moteur TDI sera un quatre cylindre de 204ch et 400Nm de couple.
En essence, on retrouve le 3.0 V6 TFSI de 340ch déjà vu sur l’A7 55 TFSI. Il va falloir vous y faire à ce nommage ! Ce V6 sort 500 Nm de couple et est accompagné d’une boîte Stronic à sept rapport. Et bien évidemment, ces 340 ch et 500 Nm de couple sont envoyés aux quatre roues avec une transmission intégrale quattro. Cette dernière activera en un instant la propulsion arrière lorsque la voiture détectera que c’est nécessaire. Cela me fait penser au système de sur la Mazda 6 MPS.
On ne sait pas encore si il sera possible d’utiliser l’A6 en propulsion uniquement. Quelque chose me dit que ça plairait à pas mal de personnes.
Le petit plus sur cette A6, c’est ses roues directrices qui peuvent tourner jusqu’à 5 degrés. Les amoureux de Honda et Mazda se rappelleront du 4WS, et ceux de Renault des roues directrices de la Laguna.
Avec un tel système, les manœuvres sont facilitées. Le rayon de braquage peut être réduit jusqu’à 1,1 mètres. Plus d’excuses pour se garer à l’arrache devant l’école ou la crèche avec ça.
A pleine vitesse, les roues braqueront dans le même sens pour une meilleure stabilité.
Elle est dispo quand ?
Pour savoir quand elle sera disponible, patientez jusqu’au salon de Genève et vous devriez en savoir plus.